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Quelques mois seulement après le lancement du gin Récif, la Distillerie met en vente un nouveau produit, cette fois sous forme éphémère : le gin Prélude.

« Au moment d’élaborer la recette pour Récif, j’ai rencontré la parfumeuse Alexandra Bachand. Ensemble, nous avons exploré avec les notes aromatiques pour créer différents accords. Dans les semaines qui ont suivi, je me suis inspiré de cette rencontre pour concocter quelques recettes exploratoires, dont ce qui allait devenir Prélude. Il contient 7 des 14 aromates de Récif, mais sa signature aromatique est complètement différente. Prélude est un gin frais, vif et subtilement anisé. Il présente des arômes de pamplemousse, des notes de conifères et une finale florale et poivrée », explique le maître-distillateur, Joseph St-Denis Boulanger.

Une série exploratoire pour s’amuser avec les arômes

Prélude est le premier produit de la série exploratoire. L’objectif avec cette série est de transporter les expérimentations de Joseph, le maître-distillateur, dans vos verres. Aucune contrainte rigide n’est imposée pour la création. Ce sera parfois l’occasion d’explorer un nouveau profil aromatique, le prétexte pour mettre de l’avant un aromate ou encore une plateforme pour raconter une histoire en odeurs et en saveurs.

Le prélude à une nouvelle vie

Par son étiquette, Prélude est aussi un clin d’œil à la création de la Distillerie des Marigots et au retour aux sources de Joseph, Gaspésien de naissance, et de sa conjointe et partenaire d’affaires, Laurie-Anne.

« Tout a commencé par un voyage en Westfalia sur les côtes gaspésiennes, alors qu’on habitait à Montréal. On s’est dit : c’est ici qu’on veut vivre. Et on aura une distillerie au bord de la mer », mentionne fièrement Joseph.

En quelque sorte, Prélude représente le passé, l’origine du premier spiritueux de la Distillerie des Marigots, et l’avenir, la volonté de Joseph d’expérimenter avec les saveurs et les aromates issus de la Gaspésie.

Prélude est produit en petits lots et disponible uniquement à la Distillerie, tant qu’il y en aura.

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